La Faculté de communication regroupe une trentaine d’unités de recherche à l’image des expertises variées de son corps professoral et de ses étudiantes et étudiants de cycles supérieurs.
Chaire de recherche du Canada sur la citoyenneté culturelle des personnes sourdes et les pratiques d’équité culturelle
Titulaire : Véronique Leduc, Département de communication sociale et publique
La Chaire de recherche du Canada sur la citoyenneté culturelle des personnes sourdes et les pratiques d’équité culturelle se concentre sur l’étude des principaux enjeux relatifs à la citoyenneté culturelle des personnes sourdes et aux pratiques d’équité culturelle soutenant leur pleine participation. Dans la foulée de la loi fédérale sur l’accessibilité, reconnaissant officiellement les langues des signes québécoise, américaine et autochtones, la Chaire a pour objectif :
- de documenter les enjeux de citoyenneté culturelle des personnes sourdes;
- de développer des pratiques exemplaires d’équité culturelle;
- et d’élaborer des lignes directrices en éthique de la recherche avec les personnes sourdes.
https://equite-culturelle.uqam.ca/
Chaire de recherche du Canada sur les médias, les handicaps et les (auto)représentations
Titulaire : Mouloud Boukala, École des médias
La Chaire de recherche du Canada sur les médias, les handicaps et les (auto)représentations a pour objectif de mieux comprendre les usages des médias par un groupe vulnérable ainsi que les enjeux qu’ils représentent. Au moyen d’une approche collaborative avec, par et pour les personnes s’auto-identifiant comme ayant un handicap, elle met en lumière l’émergence et l’importance des (auto)représentations médiatiques des handicaps au Canada (1980-2020), les manières dont les (auto)représentations contemporaines des handicaps affectent les personnes handicapées et peuvent servir de levier pour leur reconnaissance sociale, ainsi que des mesures pouvant améliorer leurs représentations et leur inclusion dans les contenus médiatiques canadiens.
https://chairemediashandicaps.uqam.ca/
Chaire de recherche du Canada en jeu, technologies et société
Titulaire : Maude Bonenfant, Département de communication sociale et publique
La pratique des jeux vidéo ne cesse de croître dans toutes les couches de la population alors que 54 % des Canadiennes et Canadiens jouent à des jeux vidéo et que la parité joueurs-joueuses est depuis longtemps atteinte. De simple passe-temps « pour adolescents », le jeu vidéo est désormais devenu un média de masse qui se déploie sous diverses formes. Chaque jeu donne naissance à une communauté de joueuses et joueurs, ce qui est d’autant plus vrai aujourd’hui, alors que tous les appareils de jeux se connectent à Internet.
Parallèlement à cette explosion des jeux vidéo en ligne, le phénomène du Big Data, c’est-à-dire la captation, le stockage et le traitement automatisé de données massives par des logiciels informatiques, s’impose dans de nombreux domaines. L’industrie du jeu vidéo s’intéresse à ces nouvelles techniques d’analyse et traque désormais un ensemble d’informations en rapport avec les comportements des joueuses et joueurs – qui deviennent alors vulnérables à des actions pouvant porter atteinte à leur vie privée. Dans ce contexte, il s’avère essentiel de mieux saisir les enjeux entourant l’usage du Big Data dans le domaine vidéoludique.
Les études du jeu en sciences sociales souffrent pourtant, à cet égard, d’un certain retard puisque ce pôle de recherche présente plusieurs défis considérables : épistémologiques, méthodologiques, techniques, etc. En ce sens, les recherches menées par la Chaire sur les communautés de joueurs et les données massives participent à la production de nouvelles connaissances sur ce sujet et sur les dynamiques de surveillance dans le domaine du jeu vidéo. Elles contribuent également au développement d’une méthodologie de recherche nouvelle tirant bénéfice de l’analyse des données massives tout en favorisant le respect de la vie privée des joueuses et joueurs, en recherche et dans l’industrie vidéoludique canadienne.
Chaire de recherche UQAM sur les usages technologiques numériques et mutations de la communication (2015-2019)
Titulaire : Florence Millerand, Département de communication sociale et publique
Créée en janvier 2015 dans le cadre du programme des Chaires stratégiques UQAM, la Chaire de recherche UQAM sur les usages des technologies numériques et les mutations de la communication s’est intéressée aux transformations de la communication liées au numérique dans la société contemporaine. À travers un programme de recherche novateur et interdisciplinaire, les travaux de cette Chaire ont permis de mieux comprendre comment les technologies numériques, et surtout la façon dont on les utilise, transforment les modes de production et de diffusion des connaissances et produisent de nouvelles cultures numériques.
Chaire UNESCO en communication et technologies pour le développement
Titulaire : Christian Agbobli, Département de communication sociale et publique
La Chaire UNESCO en communication et technologies pour le développement à l’UQAM s’inscrit dans le prolongement de la politique adoptée en 1989 par le Conseil général de l’UNESCO visant la promotion des cultures démocratiques et le développement des infrastructures médiatiques, la libre expression, le pluralisme dans le traitement de l’information et le respect des droits de la personne. Le développement de nouveaux modèles communicationnels s’impose de plus en plus comme condition essentielle à de nouveaux équilibres internationaux et à de nouvelles libertés.
Orbicom
Aujourd’hui, nous avons plusieurs façons de communiquer, mais nous avons aussi plus de difficultés à comprendre l’impact qu’ont les différents moyens de communication sur notre monde et nos communautés. Nos sociétés sont de plus en plus dépendantes de l’information. Ainsi, les industries basées sur le savoir sollicitent des méthodes innovatrices d’échange d’informations, de technologies et d’expertises. Nous avons besoin de nouveaux modèles pour partager ce que nous savons. Créé pour répondre à ces besoins, Orbicom est un réseau international qui rassemble l’élite des cercles universitaires, médiatiques et corporatifs en communication avec pour projet de stimuler l’échange d’informations et le développement de projets conjoints en communication.
CELAT – Centre de recherche Cultures-Arts-Sociétés
Direction du CELAT-UQAM : Katharina Niemeyer, École des médias
Le CELAT, Centre de recherche Cultures – Arts – Sociétés, autrefois Centre interuniversitaire d’études sur les lettres, les arts et les traditions, est issu de la Chaire des archives de folklore de l’Université Laval, créée en 1944. Il est constitué formellement en tant que centre depuis 1975 et a été le premier à être reconnu par l’Université Laval dans le domaine des sciences humaines et sociales.
Depuis 2000, il existe en tant que centre tri-universitaire et interdisciplinaire intégrant des chercheures et chercheurs de Laval, de l’UQAM, de l’UQAC, de l’Université de Montréal et de McGill. Le Centre interagit avec le monde universitaire, mais également avec d’autres acteurs tels que les municipalités (archéologie, études urbaines, etc.), les ministères (mise en valeur du patrimoine matériel et immatériel), les ONG (immigration, minorités), les musées (arts, débats sociaux), les institutions internationales (UNESCO, AUF, ICOMOS, National Science Foundation, etc.). Sa nouvelle orientation permet d’intégrer la production culturelle de certains membres (littérature, vidéo et multimédia, théâtre) en fonction des besoins de ses axes de recherche, offrant ainsi une place à l’expérimentation dans le champ de la culture et au rapprochement entre les cultures.
Centre de recherche sur la communication et la santé (ComSanté)
Direction : Alexandre Coutant, Département de communication sociale et publique
ComSanté poursuit une double mission de recherche interdisciplinaire et de mobilisation des connaissances en matière de communication et santé (health communication), que Lise Renaud et Carmen Rico de Sotelo définissent comme « l’étude et l’utilisation de stratégies de communications interpersonnelles, organisationnelles et médiatiques visant à informer et à influencer les décisions individuelles et collectives propices à l’amélioration de la santé ». ComSanté réunit des chercheures et chercheurs de plusieurs établissements d’enseignement québécois, dans une perspective résolument interdisciplinaire. Le centre tisse également des partenariats avec différents acteurs du secteur de la santé publique et de la sphère médiatique.
Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST)
Direction : Florence Millerand, Département de communication sociale et publique
Le CIRST est, au Canada, le principal regroupement interdisciplinaire de chercheurs dont les travaux sont consacrés à l’étude des dimensions historiques, sociales, politiques, philosophiques et économiques de l’activité scientifique et technologique. Nos travaux visent l’avancement des connaissances et la mise à contribution de celles-ci dans l’élaboration et la mise en oeuvre des politiques ainsi que dans la résolution des problèmes de société qui présentent des dimensions scientifiques et technologiques.
Le CIRST rassemble une soixantaine de chercheurs provenant d’une douzaine d’institutions et d’autant de disciplines, telles que l’histoire, la sociologie, la science politique, la philosophie, les sciences économiques, le management et les communications.
Hexagram UQAM
Codirection : Sofian Audry (École des médias) et Christopher Salter (Université Concordia)
Hexagram UQAM, en partenariat avec l’Université Concordia (Hexagram-Concordia), regroupe des chercheures et chercheurs spécialisés dans la création et l’étude d’œuvres d’art faisant appel à diverses technologies numériques ou analogiques. Il a pour mission d’animer et de coordonner la recherche-création dans le domaine des arts médiatiques, de soutenir la création expérimentale et de susciter, dans ce domaine, les innovations artistiques et le développement de méthodologies nouvelles et renouvelables. Le centre met à la disposition des artistes une importante infrastructure, espaces et équipements, essentielle à la réalisation des œuvres.
Observatoire francophone du développement inclusif par le genre (OFDIG)
Codirectrices : Caterine Bourassa-Dansereau, Département de communication sociale et publique, et Marie Langevin, Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale
Créé en 2022, l’Observatoire francophone pour le développement inclusif par le genre (OFDIG) résulte d’un partenariat entre l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) et l’UQAM et il est associé à l’Institut d’études et de recherches féministe (IREF) de l’UQAM. La mission de l’OFDIG est de favoriser, à l’échelle internationale, l’égalité femmes-hommes et d’accroître l’autonomie et le pouvoir d’agir des femmes et des filles dans trois secteurs cruciaux du développement inclusif : les milieux économiques, les systèmes éducatifs et l’enseignement supérieur. Ces secteurs sont constitutifs de la Francophonie scientifique.
Laboratoire sur la communication et le numérique (LabCMO)
Direction : Florence Millerand, Département de communication sociale et publique, et Guillaume Latzko-Toth Université Laval
Le LabCMO (anciennement Laboratoire de communication médiatisée par ordinateur) regroupe des chercheures et chercheurs qui s’intéressent aux usages des technologies et des médias numériques sous l’angle des mutations qu’ils suscitent dans la société. Les travaux du LabCMO mobilisent des approches interdisciplinaires, majoritairement d’orientation qualitative ou mixte, pour aborder :
- les médias numériques et leurs publics;
- les pratiques informationnelles et culturelles émergentes et les nouveaux dispositifs de médiation;
- la sociabilité, l’identité et l’agir politique en ligne;
- l’engagement citoyen en contexte numérique;
- les enjeux sociopolitiques du capitalisme informationnel et des mouvements alternatifs (logiciel libre, production par les pairs, science citoyenne, données ouvertes, etc.);
- le travail et les dynamiques de collaboration dans les environnements numériques.
Fondé en 2002, le LabCMO s’étend sur deux campus principaux, soit à l’UQAM et à l’Université Laval. Au total, près de 20 chercheures et chercheurs, 70 étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs et stagiaires postdoctoraux provenant de cinq institutions universitaires y sont affiliés. Le LabCMO accueille sur une base continue des étudiantes et étudiants aux cycles supérieurs en communication, en sociologie, en STS (science, technologie et société) et de disciplines connexes, ainsi que des stagiaires doctoraux et postdoctoraux.
- Atelier de chronotopies urbaines : scènes et cultures populaires (ACU)
- Centre de recherche en imagerie populaire (CRIP)
- Centre de recherche interuniversitaire sur la communication, l’information et la société (CRICIS)
- Centre francophone de journalisme d'enquête et de données (CFJED)
- Culture, langue, identité et communauté : groupe de recherche sur l’apprentissage de langues secondes (CLIC-GR)/Culture, Language, Identity and Community: Research Group on Second Language Learning
- Espace de recherche et d’expérimentation sur les usages numériques (Espace UN)
- Groupe de recherche en communication publique (GRCP) – UQAM
- Groupe de recherche sur la création médiatique au-delà de l’humain
- Groupe de recherche sur la communication organisante (ReCOr)
- Groupe de recherche sur l’information et la surveillance au quotidien (GRISQ)
- Groupe de recherche sur la médiatisation du son (GRMS)
- Groupe de recherche – Mesure et évaluation en langue seconde ou étrangère (MELSE)
- Groupe de recherche – Renforcement de l’intégrité académique et prévention du plagiat en apprentissage des langues (RIAPPAL)
- Groupe de recherche Homo Ludens sur les pratiques de jeu et la communication dans les espaces numériques
- Groupe d’études et de recherches axées sur la communication internationale et interculturelle (GERACII)
- Groupe de recherche sur les jumelages interculturels au Québec (GReJI)
- Groupe-Réseaux – Groupe de recherche sur les groupes de travail et les réseaux humains de communication
- labdoc – Laboratoire de recherche sur les pratiques audiovisuelles documentaires
- Labfluens – Laboratoire sur l’influence et la communication
- Laboratoire de recherche en médias socionumériques et ludification
- Laboratoire de recherche sur la culture de grande consommation et la culture médiatique au Québec (Labopop)
- Laboratoire Handicap, Sourditude et Innovations (HSI)
Atelier de chronotopies urbaines : scènes et cultures populaires (ACU)
Direction : Martin Lussier et Anouk Bélanger, Département de communication sociale et publique
L’Atelier de chronotopies urbaines (ACU) est un espace collaboratif et un dispositif technologique visant à documenter, à comprendre, à créer et à mettre en valeur la participation des scènes et des cultures populaires à la ville contemporaine. Les récentes mutations du tissu culturel, social et économique des villes représentent la trame sur laquelle s’y déploieront les projets de recherche, en s’attardant aux collectifs et aux pratiques culturels en marge de ces transformations. Les travaux sont menés selon trois principes : la collaboration communauté-université, la diversité des savoirs et la transformation sociale.
Centre de recherche en imagerie populaire (CRIP)
Direction : Jean-Pierre Boyer, École des médias
Actif depuis 1978 et fondé officiellement en 1983, le CRIP est un organisme sans but lucratif dont le mandat est de documenter, de mettre en valeur et de diffuser la culture populaire et les pratiques alternatives d’information et de communication. En 1993, le CRIP s’est associé à l’UQAM (en vertu d’un protocole d’entente spécifique prévoyant la cession des quelques 25 000 affiches du CRIP au Service des archives de l’UQAM) et se trouve maintenant rattaché à l’École des médias de la Faculté de communication.
Centre de recherche interuniversitaire sur la communication, l’information et la société (CRICIS)
Direction : Éric George, École des médias
Le CRICIS s’est fixé pour objectif premier de constituer un pôle d’excellence dédié aux analyses des rapports entre communication, information, culture et société. Pour ce faire, il privilégie les perspectives critiques à la fois pour favoriser la pratique systématique de la réflexivité qui doit être au cœur de toute démarche de recherche et pour mettre en évidence tant les inégalités sociales face aux processus et aux phénomènes communicationnels que les rapports de pouvoir et les potentialités en matière de changements sociaux. Il se distingue en accordant une place centrale à la fois aux recherches macro et micro, à l’importance des contextes structurants, cela en étant attentif aux innovations d’ordre individuel et collectif du temps présent et en situant ses problématiques dans le long terme.
Centre francophone de journalisme d'enquête et de données (CFJED)
Direction : Kathleen Lévesque, École des médias
Le Centre francophone de journalisme d’enquête et de données (CFJED) s’inspire des travaux du Consortium international des journalistes d’enquête (ICIJ), qui a produit plusieurs reportages ayant fait les manchettes partout dans le monde depuis 2013. Ces enquêtes sont le fruit de la collaboration entre plus de 200 journalistes dans des dizaines de pays. Le CFJED de l’UQAM a pour objectif d’effectuer un travail similaire (coordonner des enquêtes journalistiques réalisées en collaboration), mais avec des étudiantes et étudiants en journalisme de l’ensemble du Canada et de la Francophonie. Plus spécifiquement, il permettra aux étudiantes et étudiants en journalisme d’apprendre et d’approfondir les techniques du journalisme d’enquête et du journalisme de données, de même que de s’entraîner au travail collaboratif, tout en leur permettant de créer des liens avec leurs pairs. Aussi, le centre vise à devenir un pôle de recherche sur le journalisme d’enquête et de données, deux domaines journalistiques rarement étudiés dans la littérature spécialisée francophone.
Culture, langue, identité et communauté : groupe de recherche sur l’apprentissage de langues secondes (CLIC-GR)
Direction : Martyna Kozlowska et Jaime Demperio, École de langues
De récentes études sur l’apprentissage des langues secondes indiquent que la notion d’intégration dans la société de la langue cible se transforme. On considère notamment que les apprenantes et apprenants n’abandonnent ni leur culture ni leur langue maternelle, mais cherchent plutôt à redéfinir leur identité dans la nouvelle langue et le nouvel environnement. Les recherches du regroupement Culture, langue, identité et communauté : groupe de recherche sur l’apprentissage de langues secondes (CLIC-GR) porte ainsi sur la façon dont l’expérience de l’apprentissage et de l’enseignement d’une langue seconde influence le sentiment d’identité et le sentiment d’appartenance à la communauté de la langue cible.
Le CLIC-GR a pour objectif :
- d’étudier et de documenter comment l’identité des apprenantes et apprenants de langue seconde affecte sa motivation dans le processus d’apprentissage;
- d’étudier et de documenter la manière dont le contact interculturel a un impact sur la motivation, l’agentivité et l’identité des apprenantes et apprenants;
- de créer des outils pour promouvoir la prise de conscience des droits, des libertés et des responsabilités civiques des apprenantes et apprenants dans la nouvelle communauté linguistique (la connaissance civique);
- et de collaborer avec les services et les institutions concernés afin d’échanger des idées et des connaissances.
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Culture, Language, Identity and Community: Research Group on Second Language Learning
The notion of integration into the society of a target second language has been reconceptualized in recent research on second language (L2) learning. There exists now a general consensus that L2 learners do not abandon their culture or native language, but rather seek to redefine their identity in a new language and environment.
CLIC-GR’s research interest lies in understanding how L2 learning experiences and teaching practices influence the sense of identity and the sense of belonging to a target language community. The group studies how these dynamic factors relate to the learner’s motivation to learn and their attitudes toward the target language and its use. It endeavours to contribute to L2 pedagogy in ways that foster language learners’ cultural awareness, receptivity and civic competency.
The three research axes of the CLIC-GR are:
- The identity of the L2 learner and its impact on motivation in the learning process;
- Intercultural contact and its impact on a learner’s motivation, agency and identity;
- Civic literacy among L2 learners and its impact on learner’s engagement in the learning process, motivation, agency and identity.
https://theclicproject.uqam.ca/
Espace de recherche et d’expérimentation sur les usages numériques (Espace UN)
Direction : Florence Millerand, Département de communication sociale et publique
L’Espace de recherche et d’expérimentation sur les usages numériques (Espace UN) est une infrastructure de recherche au service du LabCMO, le Laboratoire sur la communication et le numérique, lequel regroupe des chercheures et chercheurs s’intéressant aux usages des technologies et des médias numériques sous l’angle des mutations qu’ils suscitent dans la société.
L’Espace UN inclut un laboratoire de recherche et d’expérimentation, une plateforme web de recherche et de collaboration, ainsi que des équipements et du matériel de recherche pour étudier les usages des technologies et des médias numériques en contexte, c’est-à-dire « sur le terrain », en misant sur le déploiement de stratégies de densification des données (thick data). En permettant une description analytique dense et contextuelle des traces et des usages numériques, ces recherches visent à rendre compte de l’expérience sociale des individus en rapport avec le numérique, tout en interrogeant les implications soulevées par les conditions de la recherche empirique menée avec et sur le numérique.
Groupe de recherche en communication publique (GRCP) – UQAM
Direction de l’antenne UQAM : Stéphanie Yates et Olivier Turbide, Département de communication sociale et publique
Le Groupe de recherche en communication publique (GRCP) s’intéresse à l’étude des processus communicationnels liés à la médiatisation du politique. Créé en 2007 par cinq professeur.es du Département d’information et de communication de l’Université Laval, le GRCP est devenu, en 2010, une équipe interdisciplinaire et interuniversitaire composée de chercheur.es de l’Université Laval, de l’Université de Montréal, de l’UQAM, de l’UQTR, de l’Université de Sherbrooke et de la Téluq. Les projets de l’équipe s’organisent autour de trois grands axes de recherche :
- les pratiques de la médiatisation du politique;
- les discours politiques issus de la médiatisation;
- et les publics qui y prennent part.
Groupe de recherche – Mesure et évaluation en langue seconde ou étrangère (MELSE)
Direction : Suzanne Springer, École de langues
La validité est un des aspects les plus importants pour déterminer la qualité d’un test de langue seconde ou étrangère. Essentiellement, il s’agit de savoir ce que le test cherche à évaluer et dans quelle mesure il le fait. Il faut entre autres s’assurer qu’ils reflètent les derniers développements en mesures des compétences linguistiques et qu’ils soient accessibles à toutes et tous, y compris à celles et ceux qui nécessitent des accommodements particuliers, par exemple les personnes vivant avec une déficience visuelle, auditive ou bien un trouble d’apprentissage du langage. De plus, comme les scores aux tests de langues peuvent être utilisés à de nombreuses fins (classement pour le choix des cours, admission à l’université, conditions d’obtention du diplôme), il est impératif d’analyser ces tests afin de développer des outils d’évaluation accessibles, équitables et valides.
C’est avec l’objectif d’approfondir les connaissances en matière d’évaluation des compétences linguistiques que le groupe de recherche Mesure et évaluation en langue seconde ou étrangère (MELSE) a été fondé. Il collaborera entre autres avec l’équipe informatique du Centre d’évaluation des compétences linguistiques de l’UQAM (CECL) afin d’étudier leur base de données, qui contient plus que 30 000 résultats de test. Le MELSE souhaite ainsi :
- construire un argumentaire de validation (validity argument) pour les tests de langue seconde déjà conçus (CECL);
- analyser des méthodes, créer des prototypes de tests et mettre en place des pratiques innovatrices (reconnaissance vocale, mouvements oculaires, etc.) et inclusives pour l’évaluation des compétences linguistiques (évaluations en présentiel et à distance);
- mettre en œuvre des stratégies techniques afin de structurer, d’exploiter et d’analyser les données recueillies par le CECL au fil des années;
- et développer une collaboration avec des chercheures et chercheurs dans le domaine de l’évaluation linguistique.
Renforcement de l’intégrité académique et prévention du plagiat en apprentissage des langues (RIAPPAL)
Co-direction : Juliane Bertrand et Emily Rosales, École de langues
Le RIAPPAL a pour objectif de développer des stratégies et des activités pour transmettre aux personnes apprenantes d’un programme universitaire de langue et culture les principes de l’intégrité intellectuelle, et ce, d’une façon courte, ludique et efficace, tout en tenant compte de leur niveau langagier.
Les trois grands axes de recherche du groupe sont :
- La prévention du plagiat en langues : identifier des façons d’informer les personnes étudiantes concernant le plagiat et les stratégies pour l’éviter
- Formation à l’intégrité académique en langues : examiner des façons de former les personnes étudiantes pour qu’elles puissent produire leurs travaux en langue seconde ou étrangère tout en respectant les principes de l’intégrité académique
- Sources du plagiat en langues : examinerles causes possibles du plagiat, particulièrement celles qui découlent du contexte où la personne étudiante ne produit pas ses travaux dans sa langue maternelle; réfléchir aux hypothèses culturelles ainsi qu’à l’impact du niveau de compétences dans la langue étudiée
Groupe de recherche sur la création médiatique au-delà de l’humain
Co-direction : Sofian Audry, Katharina Niemeyer et Danny Perreault, École des médias
Le Groupe de recherche sur la création médiatique au-delà de l’humain se consacre à la recherche-création médiatique incluant les non-humains, tels que les algorithmes, les robots, l’image, le son, la lumière, la matière, les micro-organismes, les végétaux, etc. Les travaux du groupe s’inscrivent dans des approches transdisciplinaires en recherche-création médiatique et abordent trois axes :
- Les pratiques créatives en intelligence artificielle et vie artificielle
- La création médiatique des collectivités étendues (humains, machines, matériaux, etc.)
- Les approches critiques et média-archéologiques des technologies médiatiques émergentes
Le groupe vise notamment à créer des approches, des outils et des œuvres médiatiques inclusives et évolutives qui présenteront une alternative aux créations industrielles souvent homogénéisées et formatées. À partir d’une posture réflexive et critique tant théorique que pratique, le groupe se penche sur la création d’œuvres et sur le développement d’outils matériels et logiciels ouverts, tout en faisant évoluer les dimensions conceptuelles, matérielles et historiques de la création médiatique.
Groupe de recherche sur la communication organisante (ReCOr)
Direction : Consuelo Vasquez, Département de communication sociale et publique
Le ReCOr est dédié aux études en communication organisationnelle, plus spécifiquement celles qui s’inscrivent dans une approche constitutive de la communication. Cette approche considère la communication comme étant le processus clé par lequel les organisations, et plus largement la réalité, sont créées, développées, maintenues et transformées. Le programme de recherche du ReCOr se propose ainsi d’étudier et de comprendre le rôle constitutif de la communication dans des contextes organisationnels variés, tels que, entre autres, les organisations à but non lucratif (OBNL), les organisations par projet, les organisations hybrides, celles adoptant des modes d’organisation alternatifs, les organisations culturelles et les organisations d’éducation supérieure.
Groupe de recherche sur l’information et la surveillance au quotidien (GRISQ)
Direction : Fabien Richert, École des médias
Le GRISQ a pour mandat d’étudier comment les technologies socionumériques, en tant que vecteurs de production, de cueillette, de circulation et de consommation d’informations, s’inscrivent dans le déploiement des formes de surveillance au quotidien. À ce titre, le groupe mène des études plus approfondies sur la géolocalisation, le phénomène du Big Data et l’application des rapports et des modalités propres aux jeux vidéo à d’autres contextes communicationnels (ludification) comme stratégie de collecte de données.
Groupe de recherche sur la médiatisation du son (GRMS)
Direction: Éric Létourneau et Simon-Pierre Gourd, École des médias
Le Groupe de recherche sur la médiatisation du son (GRMS) regroupe des créatrices et créateurs dont les pratiques et les recherches portent sur le son en tant que média (sound as media). Il vise à saisir de façon la plus globale possible la réalité sonore sous ses différents aspects. Il a pour mission d’étudier la valeur heuristique et les fonctions du son dans différents contextes, dans le cadre de manifestations sociales, médiatiques, artistiques ou utilitaires. Le GRMS explore les relations entre la production du son, le contexte de sa transmission et ses aspects phénoménologiques. Il permet à ses membres de développer des projets de recherche et de création et permet à des étudiantes et étudiants des cycles supérieurs d’avoir accès à des stages, à du perfectionnement et à des équipes de recherche. Il initie aussi les étudiantes et étudiants de premier cycle à la recherche.
Groupe de recherche Homo Ludens sur les pratiques de jeu et la communication dans les espaces numériques
Direction : Maude Bonenfant, Département de communication sociale et publique, et Gabrielle Trépanier-Jobin, École des médias
Le groupe de recherche Homo Ludens s’intéresse aux pratiques ludiques et à la communication en ligne. Ses intérêts concernent les aspects sociaux, philosophiques et sémiotiques du jeu en adoptant une perspective communicationnelle. Trois axes sont privilégiés :
- le rapport à soi, c’est-à-dire les identités en ligne et les nouvelles formes de subjectivité;
- le rapport au jeu, soit le concept de jeu, l’organisation des signes et les interfaces;
- le rapport aux autres à travers des questions concernant la socialisation, la communication et l’éthique.
Groupe d’études et de recherches axées sur la communication internationale et interculturelle (GERACII)
Direction : Michelle Stewart et Destiny Tchéhouali, Département de communication publique et sociale
Le GERACII a été créé en 2006 par des professeurs spécialisés en communication internationale et interculturelle de l’UQAM. L’idée du GERACII a émergé de leurs échanges et visait au départ à développer une vision communicationnelle des questions internationales et interculturelles tout en s’inspirant des autres traditions disciplinaires. Les membres du GERACII réalisent des projets individuels et communs et sont membres de différents réseaux de recherches et de pratiques en Afrique, en Amérique du Nord, en Amérique latine, en Europe et au Moyen-Orient.
Groupe de Recherche sur la Création Médiatique Au-delà de l’Humain (mX)
Responsables : Sofian Audry, Katharina Niemeyer et Danny Perreault, École des médias
Le Groupe de Recherche sur la Création Médiatique Au-delà de l’Humain (mX) à la Faculté de Communication est dédié à la recherche-création médiatique incluant les non-humains tels que les algorithmes, les robots, l’image, le son, la lumière, la matière, les micro-organismes, les végétaux, etc. Le groupe soutient des approches transdisciplinaires à travers trois axes: (1) pratiques créatives en intelligence artificielle et vie artificielle; (2) création médiatique des collectivités étendues (humains, machines, matériaux, etc.); (3) approches critiques et média-archéologiques des technologies médiatiques émergentes.
Groupe de recherche sur les jumelages interculturels au Québec (GReJI)
Direction : Myra Deraîche, École de langues, et Philippe Gagné, Cégep Vanier
Rapprocher les communautés est un défi qui se pose à la société québécoise comme à l’ensemble du monde. Pourtant, nombre de francophones et de non-francophones vivent au Québec sans jamais développer de contacts significatifs avec des personnes hors de leur milieu socioculturel. Depuis 2002, des enseignantes et enseignants de l’UQAM y travaillent de façon concrète grâce aux jumelages interculturels. Fort de cette expérience, le Groupe de recherche sur les jumelages interculturels (GReJI) souhaite faire rayonner les jumelages interculturels à plus grande échelle. Le GReJI entend non seulement perpétuer les activités de jumelages au sein de son institution, mais également en favoriser l’essor partout au Québec, au Canada et à l’étranger.
À la fois groupe de recherche et groupe d’action, le GReJI aura plus spécifiquement pour objectifs :
- De promouvoir et de soutenir l’établissement de nouveaux jumelages interculturels et interlinguistiques entre divers groupes (francophone, anglophone, autochtone et allophone) et régions au Québec;
- D’étudier et de documenter les impacts – sociaux comme pédagogiques – des jumelages interculturels;
- D’établir un réseau des différentes expériences similaires existantes au Québec;
- De former les professionnelles et professionnels concernés par les contacts interculturels.
https://jumelagesinterculturels.uqam.ca/greji/
Groupe-Réseaux – Groupe de recherche sur les groupes de travail et les réseaux humains de communication
Direction : Pierre Mongeau et Johanne Saint-Charles, Département de communication sociale et publique
Le Groupe-Réseaux, centre rattaché au CINBIOSE, a pour mission de favoriser le développement de la recherche sur les groupes et les réseaux humains de communication. Les travaux peuvent être regroupés selon quelques grands axes interreliés :
- réseaux, santé et environnement;
- réseaux de communication et cognition;
- réseaux et communautés transdisciplinaires;
- ainsi que réseaux et groupes de travail.
https://groupe-reseaux.uqam.ca/
labdoc – Laboratoire de recherche sur les pratiques audiovisuelles documentaires
Direction : Viva Paci et Diane Poitras, École des médias
Le labdoc rassemble diverses approches et réflexions sur les pratiques de création audiovisuelle qui interrogent la réalité. Sur le plan de la recherche, ses activités se penchent sur l’étude des traditions du cinéma dit « du réel », des formes de création documentaire, des explorations contemporaines (transmédia, jeux documentaires, webdocumentaires, narrations interactives). Sur le plan de la création, il expérimente des modes de production et de diffusion en ligne de la recherche documentaire et élabore des événements de médiation culturelle du cinéma du réel (cycles de films, rencontres professionnelles).
Labfluens – Laboratoire sur l’influence et la communication
Direction : Camille Alloing, Département de communication sociale et publique
L’influence comme objet de recherche en sciences sociales, et en communication en particulier, mobilise de nombreuses définitions et approches, mettant en leur centre aussi bien les médias que les interactions sociales. L’influence peut être abordée sous un angle psychosociologique comme le résultat d’un acte de communication sur les comportements ou les représentations sociales des publics, comme le résultat d’un processus de mise en circulation des idées et des opinions ou comme un ensemble de pratiques et de stratégies visant la persuasion.
Que ce soit dans les recherches universitaires ou dans les discours destinés aux praticiennes et praticiens, les travaux en marketing et en psychologie dominent les discussions sur l’influence comme objet que l’on pourrait théoriser, analyser, quantifier et manipuler, voire mettre en marché. Les théories de l’influence peuvent-elles se départir de ces approches? Enrichir notre champ conceptuel en discutant d’influence par le prisme d’autres notions comme la prescription, la recommandation, les routines et la familiarisation, la confiance, le rôle d’un tiers symbolisant ou la place de la réputation dans le processus permettra de renouveler notre compréhension du concept.
Le Labfluens, le Laboratoire sur l’influence et la communication, propose d’interroger les pratiques communicationnelles qui permettent à l’influence de s’exercer dans un contexte donné et d’ainsi générer des effets ou des affects tangibles, d’être un objet quantifiable, manipulable, qui génère l’adhésion (ou l’acceptation), l’engagement ou encore la mobilisation. Plus particulièrement, il vise à développer des recherches collectives, des productions (rapports, analyses) et des événements se concentrant sur les actions organisationnelles génératrices d’influence : relations publiques, gestion de communautés en ligne, mobilisation d’influenceuses et d’influenceurs numériques, astroturfing, lobbying, mécénat, publicité, agnotologie ou relations de presse.
Le programme de recherche du Labfluens se développe autour de trois axes :
- les pratiques de l’influence;
- les métiers et marchés de l’influence;
- et l’influence comme concept.
Laboratoire de recherche en médias socionumériques et ludification
Chercheur : André Mondoux, École des médias
Cochercheure : Maude Bonenfant, Département de communication sociale et publique
Le Laboratoire de recherche en médias socionumériques et ludification regroupe le GRISQ et HomoLudens. Il vise la capture systématique, consultable et archivable de données à la fois sur le contenu et le contexte des usages des technologies de communication mobile en étudiant tout particulièrement les stratégies de ludification utilisées sur ce genre de plateformes et les effets d’une production massive de données sur les usagers. Ainsi, les recherches menées au sein du laboratoire se divisent en trois volets distincts, mais interreliés :
- les médias socionumériques dans le contexte de la mobilité et qui exploiteront les technologies de géolocalisation;
- les stratégies de ludification utilisées par les médias socionumériques et les ponts de plus en plus nombreux avec le monde des jeux vidéo;
- et la production, la cueillette et l’utilisation des quantités massives d’informations produites par les usagères et usagers et qui prennent désormais le nom de Big Data ainsi que leurs effets sur les médias socionumériques.
Laboratoire de recherche sur la culture de grande consommation et la culture médiatique au Québec (Labopop)
Chercheures principales : Stéfany Boisvert, École des médias, et Gabrielle Tremblay, Département d’études littéraires
Le Laboratoire de recherche sur la culture de grande consommation et la culture médiatique au Québec concilie les besoins de la recherche en histoire culturelle et les possibilités offertes par la technologie dans le contexte des humanités numériques, et ce, afin de montrer comment et dans quelle mesure la culture de grande consommation et la culture médiatique contribuent à structurer l’imaginaire collectif québécois des années 1920 à nos jours. Prenant pour objet les romans en séries, la chanson, la littérature radiophonique, la littérature en fascicules, la télévision populaire et les best-sellers, il permet de les saisir comme productions à la fois matérielles, culturelles, médiatiques et formelles, dans une perspective multidisciplinaire qui contribue à en dégager les aspects systémiques. En plus de fédérer un ensemble de données dispersées, difficilement accessibles et peu maniables sous leur forme actuelle, le Laboratoire permet de les organiser et de les interroger dans une perspective novatrice en les mettant en relation. Le Laboratoire contribuera ainsi à mettre au jour les processus d’appropriation culturelle à l’œuvre dans et par l’imaginaire médiatique québécois, de même qu’il permettra de comprendre comment, à travers cet imaginaire, se cristallisent différents états du rapport au monde qui prédominent à chaque époque.
Laboratoire Handicap, Sourditude et Innovations (HSI)
Chercheur : Mouloud Boukala, École des médias
Cochercheure : Véro Leduc, Département de communication sociale et publique
Le Laboratoire Handicap, Sourditude et Innovations (HSI) est un espace inclusif et collaboratif visant à soutenir et à renforcer la citoyenneté culturelle des personnes en situation de handicap et des personnes sourdes signeures. Grâce à une approche de recherche-action participative et émancipatoire, des artistes, des chercheur-es et des professionnel-les des milieux culturels vont collaborer et améliorer l'accessibilité et l'équité culturelles. Les activités du Labo HSI favoriseront les expressions culturelles et artistiques des personnes sourdes et handicapées par des nouvelles stratégies d'accessibilité culturelle et des créations, telles que des réalisations sonores (ex: balados), visuelles (ex: vidéos, réalité virtuelle) et tactiles (ex: témoignages en braille, créations par impression 3D).